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Logement dans le Grand Londres : The choice is yours!

Mardi, 17 Décembre, 2013
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Quasi-impartial et totalement transparent, le Choice Based Lettings (mot-à-mot : le choix de logement), un système récent d’attribution des logements sociaux dans le Grand-Londres, permet de combattre le clientélisme, trop souvent associé au marché très prisé du logement social.

Comment les autorités ont-elles réussi à imposer la transparence aux bailleurs sociaux dans le «Grand Londres» ? En mettant en place un système d’attribution, importé de Delft aux Pays-Bas, dès l’an 2000, le Choice-Based Lettings.

 

Dans le Grand Londres, il n’est désormais plus utile de remplir un dossier et d’attendre patiemment que celui-ci évolue au gré de variations totalement incontrôlables dans la pile posée sur le coin du bureau d’un

agent administratif.

 

Jacques Salvator, maire d’Aubervilliers : L’anonymat empêche la gentrification

Lundi, 16 Décembre, 2013
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Jacques Salvator, maire d’Aubervilliers de 2008 à 2014 et Soumia Zahir, conseillère municipale déléguée (à la prévention des expulsions locatives, suivi Dalo, lutte contre les discriminations et droits des femmes), également administratrice OPH et présidente de la commission d’attribution logements nous avaient reçus en 2011. Des discriminations au logement social ?

 

Julien Vanhée et Slimane Tirera : Pouvezvous nous faire un état des lieux du logement social à Aubervilliers ?

 

Soumia Zahir : Depuis 2008, l’état du logement social n’est pas pire que dans d’autres villes c’est-à-dire 4300 demandeurs de logement dans la ville avec des attributions sur le propre contingent de la ville (200 par an) dans un premier temps. Dans un second temps, nous avons des constructions (nouveau projet en cours) de logements sociaux et d’autres types de logements.

 

Transparence des attributions : Rennes sur le devant de la scène

Vendredi, 13 Décembre, 2013
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Les procédures anonymes d’attribution des logements sont une réalité dans cette ville depuis plus d’une dizaine d’année, d’autres villes à l’instar de Lyon , Aubervilliers, Londres et bien d’autres ont également fait de la lutte contre les discriminations au logement et les dérives clientélistes d’attribution au logement leur priorité.

Les dispositifs d'accès au logement social mis en place à Rennes Métropole ont été définis par la conférence intercommunale du logement (CIL). Ce dispositif a été mis en place à la suite de la loi contre l’exclusion de 1998.

 

La ville de Rennes mène une politique de logement transparente et égalitaire, dans la mesure où elle a mis en place des cadres, méthodes et outils pour traiter la demande, attribuer le logement utilisant un système de cotation.

 

Anonymisation, Mode d’emploi - Lyon expérimente

Jeudi, 12 Décembre, 2013
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Discriminations au logement, ghettoisation, une seule solution : l’anonymisation. Un combat de taille pour les militants antiracistes.

L’anonymisation des demandes de logements : qu’est-ce que c’est ?

 

Il s’agit d’une procédure d’attribution des logements sociaux basée sur des critères objectifs et matériels, adoptés par les autorités étatiques. Ces critères objectifs sont essentiellement les revenus, le nombre de personnes composant le foyer et l’ancienneté du dossier. Cette volonté de conserver l’anonymat, est la triste conclusion d’un constat que l’égalité pour l’accès au logement n’est pas effective en France.

 

Fatimata Ndiaye et Zitouna Idir: deux testeuses de République

Mercredi, 11 Décembre, 2013
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Malgré le triste exemple de discrimination dans l’accès au logement pratiquée par des agences immobilières peu scrupuleuses : deux condamnations judiciaires ont encore une fois été obtenues !

A la recherche d’un logement privé, Fatimata NDIAYE, jeune salariée parisienne, a contacté par téléphone une propriétaire ayant un appartement à louer. Avant d’émettre une certaine remarque sur la consonance du nom de son interlocutrice, la propriétaire lui a indiqué que l’appartement était libre.

 

Peu de temps après, Madame NDIAYE prend à nouveau contact avec cette propriétaire afin d’obtenir davantage d’informations sur l’appartement. Cette dernière lui rétorque alors que le local n’est plus disponible.

 

Hamou et Kouame : avec et sans testing, la justice condamne !

Mardi, 10 Décembre, 2013
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 « Je ne peux pas louer à des gens de couleur ». Cette petite phrase, glissée au détour d’une conversation téléphonique enregistrée par SOS Racisme, condamnera son auteur, Madame Maurel, gérante de l’agence CIT, à Toulouse, Monsieur Labatut, le propriétaire de l’appartement que souhaitaient louer Gilles et Malika, ainsi que Annie GARNIER, membre de l’agence immobilière de Cheuvry pour avoir refusé de louer un appartement à Monsieur Florentin Kouamé.

Poursuivie en justice, la gérante de l’agence avait indiqué qu’elle ne faisait qu’obéir aux consignes du propriétaire. Cette tentative de justification n’a pas fait mouche, ni auprès du parquet ni auprès du juge, qui ont reconnu l’existence d’une discrimination raciale à la location.

 

Ainsi, en mars 2003, chacun des discriminateurs a été condamné à une amende de 3.000 euros et au paiement de la somme de 1.000 euros à Malika Hamou au titre des dommages et intérêts, en plus des frais d’avocats.

 

Mil’im : un réseau d’agences immobilieres aux pratiques discriminatoires

Lundi, 9 Décembre, 2013
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Cette affaire débute au début des années 2000 lorsque des salariés des agences MIL’IM dénoncaient à SOS Racisme l’existence d’un système de codification discriminatoire au sein de l’entreprise.

 

Mil’im : un réseau d’agences immobilieres aux pratiques discriminatoires

Jeudi, 15 Mai, 2014
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Cette affaire débute au début des années 2000 lorsque des salariés des agences MIL’IM dénoncaient à SOS Racisme l’existence d’un système de codification discriminatoire au sein de l’entreprise.

 

Mil’im : un réseau d’agences immobilieres aux pratiques discriminatoires

Jeudi, 15 Mai, 2014
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Cette affaire débute au début des années 2000 lorsque des salariés des agences MIL’IM dénoncaient à SOS Racisme l’existence d’un système de codification discriminatoire au sein de l’entreprise.

 

Sud Location : « P.E. » = pas d’étranger

Samedi, 7 Décembre, 2013
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Cette affaire débute au début des années 2000 lorsque des salariés des agences MIL’IM dénoncaient à SOS Racisme l’existence d’un système de codification discriminatoire au sein de l’entreprise. L’agence SUD LOCATION est une agence immobilière de type « marchand de liste » implantée à TOULOUSE. Elle disposait à cet effet d’un fichier de milliers de propriétaires, dont 250 pour lesquels etait precisée la mention P.E.

Certains propriétaires ont ainsi clairement spécifié à l’agence SUD LOCATION refuser de louer leur bien à des « étrangers ». Dans ce cas, en sage cocontractante obéissante, l’agence faisait apparaitre sur les fiches techniques des appartements la mention « PE » : « Pas d’Etranger ». Une telle mention impliquait alors l’exclusion à la location des personnes « étrangères », ainsi que des français d’origine étrangère.