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Lunéville : l'association aux deux regards

Lundi, 14 Février, 2011
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Dirigée par Mohammed Benchaabane, l’association Pot’entiel Solidarité agit au local comme à l’international, liant la Lorraine à l’Afrique, avec un amour de l’accueil.


C’est du local, et c’est de l’horizon ! L’association Pot’entiel est née de la fusion de deux structures. Une issue du mouvement SOS Racisme, et l’autre d’un mouvement de solidarité vers la Roumanie. Du coup, depuis la fin des années 80, l’association a deux horizons : un proche, un lointain. Pour le local, l’association présidée par Mohamed Benchaabane, « un vieux d’la vieille », a pour activité principale une friperie sociale.

Rock Sans Papiers

Mercredi, 8 Septembre, 2010
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SIGNEZ L APPEL!

Nous, auprès des artistes, musiciens, comédiens, réalisateurs, écrivains, plasticiens, professionnels de la musique, du spectacle, du cinéma, de l’information, de la culture, des scientifiques et universitaires, des personnalités associatives, syndicales et politiques, avec la majorité des citoyens français, nous déclarons solidaires des milliers de sans-papiers qui grandissent, étudient, et vivent à nos côtés dans notre pays.

Il y a 50 ans....

Lundi, 14 Décembre, 2009
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Il y a 50 ans, quatorze pays d’Afrique, ex-colonies françaises, obtenaient leur indépendance. Cette libération était l’aboutissement d’une formidable lutte pour l’égalité entre les hommes et pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. A l’occasion de cet anniversaire, il nous est apparu essentiel de nous intéresser à cette génération qui, au sortir de la seconde guerre mondiale, s’est mobilisée pour conquérir ses droits et se libérer d’un système d’exploitation raciste.

La génération actuelle de Français ou d’immigrés doivent savoir le chemin parcouru par ces hommes et ces femmes pour obtenir leur indépendance, savoir qu'ils avaient le même idéal de Liberté, d’Egalité, de Fraternité, porté par les révolutionnaires au 18ème siècle, pour abolir les privilèges de l

« Fidélité ou capote » : les apories des politiques de prévention du VIH/sida sur le continent africain

Lundi, 16 Août, 2010
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Ce slogan - « Fidélité ou capote » - avait été placardé sur de nombreuses affiches au Burkina-Faso dans les années 1990 et se voulait porteur d’un message de prévention jugé efficace par les responsables politiques internationaux et nationaux.

Oui mais voilà, la retranscription du terme de « fidélité » en langue vernaculaire*, chez les Mossis**, n’avait pas du tout le même sens et le message de prévention n’a servi qu’à créer des incompréhensions. Cet exemple n’est pas un cas isolé. Bien souvent, les messages de prévention diffusés sur le continent africain ne prennent pas en compte les réalités locales.

Des soldats de la liberté face à la mort, des guerriers de l'égalité face à leur droit

Vendredi, 23 Avril, 2010
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Bon nombre de soldats d’Outre-mer périrent sur le front pour libérer la France des entraves du fascisme, mais ceux qui survécurent aux massacres n’avaient aucun état d’âme victimaire. C’est debout qu’ils firent face au colonisateur pour conquérir l’égalité de droit au même titre qu’ils furent égaux face à la mort. Ce combat a laissé des plaies ouvertes,  ravivées par le  nombre d’anciens tirailleurs encore mis au banc de la société.

En 1917, pour recruter des « indigènes » dans l’armée française, Blaise Diagne, unique député noir africain nommé délégué du gouvernement, parcourait l’Afrique en reprenant le slogan « En versant le même sang, vous gagnerez les mêmes droits ». C’est avec cette promesse que des dizaines de milliers d’africains furent enrôlés dans les troupes françaises.  

Du combat politique pour l'égalité aux revendications des indépendances

Vendredi, 23 Avril, 2010
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 L’émergence d’une union d’élites politiques africaines, venue de la société civile, comme des hautes écoles française marquera un grand tournant dans l’histoire des indépendances tant par les acquisitions de droits qu’elle a pu acquérir à l’égard d’une France coloniale affaiblie que par sa son idéal universaliste africain.

Tout comme l’Angleterre, au lendemain de la 2nde guerre mondiale, les peuples colonisés sont face à une France détruite, affaiblie économiquement, politiquement et lourdement dévaluée sur la place internationale au détriment d’une Amérique et d’une union soviétique devenues leaders mondiaux anticolonialiste. C’est  dans ce contexte qu’émerge un souffle international de libération du joug colonial motivé, en France, par les communistes et radicaux socialistes.

Un pavé syndical dans la mare coloniale

Vendredi, 23 Avril, 2010
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La lutte syndicale fut l’un des axes majeurs de luttes contre les inégalités de droits dans les milieux agricoles, ouvriers et administratifs entre les travailleurs français et africains. Cette force unitaire rejointe à ses débuts par les centrales syndicales de la métropole prendra des dimensions considérable lorsqu’elle prit son envol…

Il faudra attendre la chute du Front Populaire français pour que l’on concède à l’AOF le 11 mars 1937, les conditions d’applications des titres 1 et 2 du livre 3 du Code du Travail métropolitain. Ce timide progrès offrit le droit aux travailleurs instruits de se syndiquer.

Décolonisations dans le sang

Vendredi, 23 Avril, 2010
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Pour conquérir leur indépendance, des armées populaires de libération avaient engagé la lutte militaire contre l’occupation française dés 1947 à Madagascar et dix ans plus tard au Cameroun. Combien d’entre nous savent à quel point l’indépendance de ces territoires a été précédée ou accompagnée par des massacres perpétrés par la puissance coloniale ? Retour sur deux drames oubliés de l’histoire de France.

Premier massacre de masse perpétré par la nouvelle République à peine libérée du joug nazi, entre 30 000 et 89 000 malgaches, selon les sources, ont trouvé la mort suite aux soulèvements populaires du mois de mars 1947, notamment dans l'est et le Sud de Madagascar. Pour combattre l’insurrection du peuple malgache qui réclamait une indépendance immédiate, la répression confiée à 18 000 hommes de troupes (des tirailleurs sénégalais et soldats marocains et algériens).

Cameroun : Ruben Um Nyobe ou la révolution manquée

Vendredi, 23 Avril, 2010
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Ruben UM NYOBE est propulsé à la tête de l’Union des Populations du Cameroun au mois de novembre 1948, six mois après la création de ce mouvement de libération nationale, dont le but est d’obtenir l’indépendance et la réunification du Cameroun. La lutte de L’Union des populations du Cameroun prend ses racines dans la résistance contre le colonialisme qui, au Cameroun, fut d’abord celui de l’Allemagne pour devenir ensuite celui de la France et de l’Angleterre pendant la première guerre mondiale.

Pour Ruben UM NYOBE, le citoyen camerounais doit être au centre de toutes les initiatives et les décisions, autrement dit, il doit être consulté au préalable. Il déplore évidemment la maltraitance et le manque de considération des colons à l’égard des indigènes et il prône un programme-école qui permettrait aux camerounais de recevoir une formation adéquate pour assumer les charges d’Etat. Il est l’un des premiers hommes politiques de la nation à mettre en garde des dangers du tribalisme, de l’ethnicité et de la régionalisation dans la politique locale.

Modibo Keita

Vendredi, 23 Avril, 2010
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Né  le 4 juin 1915 à Bamako, Modibo Keïta fut d’abord un élève talentueux de l'école normale supérieure de Dakar d’où il sortira major avant de devenir un instituteur redouté par les forces coloniale en septembre 1938...

 Il est même dit que ses professeurs le signalèrent comme : « Instituteur d'élite, très intelligent, mais anti-français... Agitateur de haute classe à surveiller de près ».