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Stéphane Hessel en héritage
Très tôt, au tout début de mon adolescence, j'ai pris mesure de l'importance de la culture politique. Une culture qui relève en fait de la manière même de concevoir sa vie et les relations avec les autres. Sans militer, j'avais ddéjà une véritable conscience de gauche, une conscience du partage déjà très prégnante par mon histoire familiale, un amour puissant de l'altérité. Pour autant, il me manquait quelque chose : un patrimoine politique.
Guerre d’Algérie : les justes contre la honte
C’est un pari audacieux que celui relevé par la fédération nationale des Maisons des potes, mercredi 12 décembre. A l’université Paris-8, elle a organisé une conférence-débat sur le thème « Guerre d’Algérie : les justes contre la honte », dressant un parallèle entre les Justes parmi les nations, désignant celles et ceux qui ont mis leur vie en danger pour sauver des juifs durant la deuxième guerre mondiale, et les combattants de la cause anti-coloniale durant la guerre d’Algérie.
Pour le journalisme fraternel : Le Prix Robert Barrat
Le Prix Albert-Londres récompense depuis 1933 le meilleur Grand Reporter de la presse écrite. C’est en dormant sur cette information et près du recueil d’articles Les Maquis de la Liberté que je me suis réveillé, étonné : le Prix Robert Barrat n’existe pas. Pourtant l’auteur de ce recueil d’articles sur la guerre d’indépendance algérienne mériterait qu’on l’érige en modèle. Mais quelle serait la condition principale pour obtenir cette récompense unique ?
Education-Réactions : Les Désobéïsseurs
Quel est votre point de vue sur le mouvement des désobéïsseurs ?
Aurélie Fillipeti : J’ai de la sympathie pour les mouvements de désobéissance civile, pour cette forme de résistance passive. L’un des principes c’est quand même qu’il y ai une certaine autonomie dans la pédagogie, que chacun choisissent sa méthode pour justement faire passer le programme scolaire qui est le même pour tout le monde. Il y a une marge de manœuvre à préserver pour les professeurs au risque de les nier en tant qu’individu.
On ne fiche pas les enfants !
La première version, apparue en en catimini, à la fin de l’année 2004, collectait des données personnelles portant sur une soixantaine de champs (données familiales, sociales, scolaires, etc.) accessibles via Internet au niveau de l’Inspection départementale et académique, et en partie partagées avec une autre administration, les mairies.