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En Espagne : préférence latino

Vendredi, 20 Septembre, 2013
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Le temps de résidence exigé pour la naturalisation est, en règle générale de 10 ans.

Cependant, ils existent des exceptions déterminées. Les demandeurs d’asile politique doivent vivre en Espagne depuis au moins 5 ans pour obtenir la nationalité, quand seulement 2 ans sont nécessaires pour les natifs des pays latino-américains, d’Andorre, des Philippines, de la GuinéeÉquatoriale et du Portugal.

 

Des points pour être britanniques

Jeudi, 19 Septembre, 2013
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En Grande-Bretagne, pour accéder à la nationalité il faut « gagner des points ». Avec le Borders, Citzenship and immigration Act, voté en 2009 par le Parlement britannique, les immigrés doivent faire face à un système de point qui se base sur les compétences, le travail et leurs connaissances pour devenir citoyens britanniques.


Le système des points britanniques pas clairement défini et il reste flou car les critères exacts sont encore obscurs. Si l’argent apporté lors de l’installation, le parcours professionnel et le volontariat sont autant d’éléments qui permettent de gagner des points, d’autres critères peuvent causer leur perte. L’un des exemples le plus frappant est que les candidats qui se présentent pour la nationalité britannique peuvent être rayés de la liste s’ils font preuve de « mauvais comportements » tel que manifester.

Naturalisations

Jeudi, 19 Septembre, 2013
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En France, si on dénombre 3 714 500 étrangers en 2008, on compte également 4 959 000 immigrés.

Une partie des immigrés est ainsi intégrée à la population nationale par des demandes de naturalisations dans différents pays d’Europe. Les critères d’acquisition de la nationalité varient selon les Etats et évoluent pour faciliter l’acquisition. En Italie, le 4 Août 2012, le nombre d’années exigées pour une naturalisation est passé de 10 à 5 ans. En Allemagne, ce n’est qu’à partir de 2000 que l’accès à la nationalité a été accordé aux enfants d’immigrés nés outre-Rhin.

Hongrie : la peur de l’autre

Mercredi, 18 Septembre, 2013
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Avec 198 000 étrangers dans un pays de 10 millions d’habitants, la Hongrie est loin d’être un pays d’immigration massive. Cela n’empêche pas l’extrême droite de faire des immigrés les boucs émissaires de la crise pour accroitre leur influence.

La Hongrie compte environ 10 millions  d’habitants et s’est ouvert à l’immigration internationale à la faveur du changement systémique en 1989. Le 21 décembre 2007, la Hongrie a rejoint l’espace Schengen. Mais même s’il ya eu certains développements positifs dans les domaines de la rétention et de l’accès au marché du travail, la directive d’accueil n’a pas encore été entièrement transposée dans la législation nationale. En conséquence, de nombreuses dispositions actuelles du droit d’asile ne répondent pas encore aux normes minimales requises par la directive de l’UE.

Cauchemar grec pour les sans papiers mineurs

Lundi, 16 Septembre, 2013
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Parmi les migrants retenus contre leur volonté dans une Grèce devenue la zone tampon de l’Europe forteresse, une catégorie se révèle particulièrement précaire : celle des enfants non accompagnés.


Ce pays qui ne devait être qu’un point de passage vers l’eldorado européen est devenu pour beaucoup une prison à ciel ouvert. Si peu partagent la langue ou le pays d’origine, tous ont en commun d’être venus sans parents, souvent dans l’idée de rejoindre des proches en Europe. Arrêtés par la police après une périlleuse traversée de la frontière gréco-turque, les migrants mineurs isolés sont ensuite relâchés – la loi grecque interdisant les expulsions de mineurs non accompagnés de leur famille – ou envoyés dans des structures d’accueil.

 

Espagne : un pas en arrière après les régularisations

Lundi, 16 Septembre, 2013
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En 2005, l’Espagne et plus précisément le gouvernement de Zapatero met en place la cinquième (depuis 1991) et la plus importante des régularisations massives. Ce processus a permis la régularisation d’environ 700 000 travailleurs clandestins.


Les candidats à cette régularisation devaient être recensés dans une municipalité espagnole 6 mois avant celle-ci, disposer d’un contrat de travail d’une durée supérieure à 6 mois et ne pas avoir de casier judiciaire ni en Espagne ni dans le pays d’origine afin d’obtenir un permis de travail.

Espagne : Quid des régularisations ?

Dimanche, 15 Septembre, 2013
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En Espagne, en 2000, une première régularisation avait été ouverte. Dans cette première régularisation, les dossiers de 226 570 personnes ont été étudiés et 137 454 ont été approuvés.


La dernière régularisation massive des sans-papiers vivants sur le sol espagnol a été réalisée en mai 2005. Plus de 700 000 demandes ont été déposées, Madrid, la Catalogne et Valence rassemblaient plus de 60 % de ces demandes. Les documents nécessaires pour recourir à la régularisation étaient conformes à la normale : un certificat de recensement qui démontrait qu’il ou elle vivait en Espagne avant août 2004, un contrat de travail et l’absence d’antécédents judiciaires.

Grèce : les migrants entre le marteau et l’enclume

Samedi, 14 Septembre, 2013
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Dans la Grèce de l’austérité, les sans-papiers se retrouvent pris en tenaille entre des politiques migratoires européennes répressives et un contexte local hostile aux nouveaux arrivants.


Alors que la Grèce s’enfonce dans la crise et que les perspectives d’y vivre décemment s’éloignent de jour en jour, le flux d’immigrés ne tarit pas et vient grossir les rangs de précaires. Si le nombre élevé d’immigrés légaux et illégaux – estimés respectivement à 800 000 et 400 000 en 2011, bien que les estimations varient – peut interpeller dans un pays en crise, il doit être nuancé par le fait que très peu ont choisi de s’établir en Grèce. En 2011, la majorité des entrées en Europe se font par la Grèce.

 

Portugal mon amour

Vendredi, 13 Septembre, 2013
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Pays d’émigration mais aussi terre d’immigration, le Portugal travaille à mieux accueillir les populations arrivantes.

Le Portugal traverse actuellement une crise économique très sévère, et de nombreux Portugais partent vers des pays tels que la France notamment. C’est pourquoi sommes beaucoup à penser que l’immigration n’est pas un problème au Portugal, car nous avons besoin d’immigrés. Pour preuve, je peux expliquer en quelques points fondamentaux ce que nous faisons au Portugal pour attirer les immigrants. Notre formule appelée « second plan pour l’intégration des immigrants au Portugal » a rencontré pas mal de succès dans le pays.

Coup de botte sur l’immigration

Jeudi, 12 Septembre, 2013
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Point de chute important de l’immigration clandestine, l’Italie s’est doté de tout un arsenal de lois pour tenter de régulariser ses flux migratoires et transitoires. Youssoupha Thiam, militant à SOS Racisme Italie, évoque des législations qui ne cessent de se durcir au fil des années. 


La loi Turco-Napolitano, qui porte le nom de l’actuel Président de la République, Napolitano (réélu pour sept ans en avril dernier, ndlr) a fusionné plusieurs textes législatifs dont la loi du 6 mars 1998 sur l'immigration et la condition de l'étranger. Intégrée au décret législatif numéro 286 du 25 juillet 1998, et connu sous le nom de « texte unique », cette loi prévoyait la programmation des flux d'entrée pour le travail, pendant de l'immigration clandestine.