Lucas Dufour »
Lucas Dufour
Le référendum d’initiative populaire en France
Aucun article de la constitution ne mentionne véritablement le référendum d’initiative populaire pourtant ils sont plusieurs à y faire référence de façon plus ou moins ouverte. Depuis le 23 juillet 2008, l’article 11 prévoit une possibilité de référendum à l’initiative d’un cinquième des parlementaire (184 parlementaires) et de 10 % des électeurs (environ 4,5 millions de personnes). Néanmoins, le référendum prévu par cet article ne peut (en théorie) porter que sur le domaine législatif.
CNDS : un cri d'alarme
Créée en 2000 par la gauche, la CNDS est une autorité administrative indépendante chargée de veiller au respect de la déontologie des agents des autorités publiques, services publiques et sécurité privée. Néanmoins, cette autorité ne rend que des avis et des recommandations concernant les dossiers dont elle est saisie, le but étant de remédier aux manquements à la déontologie. La Commission peut proposer au gouvernement un changement de législation sur ses domaines de compétence.
Nanterre : pas Zy’va!
Les discussions tournent surtout autour de la problématique du financement des associations. Il faut dire que Zy’va vit actuellement des heures sombres : les dettes s’accumulent et l’association ne sait plus comment payer ses 13 employés. Les responsables de la structure nous expliquent que malgré le travail effectué par l’association et son implication historique sur la ville de Nanterre, les subventions ont été largement réduites... Dans un tel contexte, comment consolider la vitalité des associations et faire émerger les nouvelles générations de militants?
Vitrolles : retour vers le futur
Ce que racontent les Vitrollais suffit à faire froid dans le dos : une ville proche de l’émeute où un couvre- feu officieux a même été instauré. “Il n’était pas possible de sortir après 20h00 sous peine de se faire agresser et la police ne faisait rien” nous explique une habitante. Après les élections de 1997, la mairie FN avait procédé à une purge massive dans ses services et avait ainsi licencié toute personne dont l’idéologie n’était pas la leur (avant d’être condamnée par le tribunal administratif de Marseille).
Talacatak
Cette onomatopée brésilienne évoque le son de certains rythmes musicaux. Elle a été choisi comme nom par une association de fabrication d'éco-instruments de musique à partir de matériaux de récupération du 20ème arrondissement de Paris. L'idée est née de l'impossibilité pour Lionel Haïun, président de l'association, d'acheter des instruments de musique en magasin à cause de leur prix.