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Banlieues et chômage, la solution verte ?
Ce qui désormais est appelé croissance verte ou économie durable, est une économie à long terme qui utilise moins ou mieux la ressource énergétique et les matières premières non renouvelables. Cette croissance verte créera de nouveaux métiers comme « l’Intégrateur de développement durable dans le bâtiment » qui réalisera par exemple les diagnostics énergie dans le cadre d’un projet de construction. Mais, l’essentiel des métiers concernés par la croissance, correspondent toutefois à des emplois existants pour lesquels des adaptations sont nécessaires notamment en termes de formation.
Mariage et immigration : un couple difficile
Au Sénégal, le mariage constitue la seule manière légitime de fonder une famille socialement reconnue. L’institution du mariage est confortée par l’Islam qui en fait le seul modèle possible et le principal moyen, pour une femme, d’avoir une valeur sociale en tant qu’épouse et mère.
Testing : Larme fatale !
C’est en 1955 et en 1971, dans le sud de la Californie, puis entre 1974 et 1975 à Détroit, qu’ont été menées les premières recherches, à petite échelle, basées sur la méthode du testing.
C’est le département américain du logement et du développement urbain qui, en 1977, est à l’origine de la première grande étude appelée « Housing Market Practices Survey » pour identifier les discriminations contre les African Americans[1] dans l’accès au logement.
INTERVIEW : Vincent Cespedes. « En banlieue, l’école sert à naturaliser l’échec »
V.M : Diriez-vous comme certains observateurs que l'école est malade?
V.C : Oui, l’école est malade parce qu’elle est complètement inadaptée à son public et parce qu’elle est incapable de relever les défis de demain.
C’est d’abord une maladie d’adaptation à un public qui s’est massifié, depuis 30-40 ans, avec une population qui n’est plus celle d’avant : « de bons petits écoliers modèles ».
Women’s Forum 2009 : (Re) prendre la main
Les participants sont surtout des participantes car malgré la volonté des organisateurs la présence des hommes reste encore discrète.
Un programme ambitieux propose aux participantes, chefs d’entreprises, militantes des droits de l’homme, journalistes,… de s’attaquer à la crise et aux problématiques d’environnement. Cette année la conviction des organisateurs et d’une grande majorité d’intervenants est que les femmes sont particulièrement porteuses d’avenir et l’une des solutions à la crise.