Justicier

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Jeudi, 18 Octobre, 2012
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Exploité par l'oligarchie le peuple a peur. Enchaîné dans sa propre liberté, le peuple pleure. Répression, oppression, tolérance zéro, chaos, la police fait mal, la garde à vue persécute, la garde à vue tue, alors que veux-tu, notre pays va mal. Dictature, République, sujets, bavure, statistiques, les patries et l'anarchie fleurissent. Les égouts de la France. Ils sont assaillis, figés, endormis, comme des petits volcans, prêts à exploser. Mais Dieu est grand alors dormez petits volcans, dormez. Le jour approche, bientôt vous vous réveillerez.

Exploité par l'oligarchie le peuple a peur. Enchaîné dans sa propre liberté, le peuple pleure. Répression, oppression, tolérance zéro, chaos, la police fait mal, la garde à vue persécute, la garde à vue tue, alors que veux-tu, notre pays va mal. Dictature, République, sujets, bavure, statistiques, les patries et l'anarchie fleurissent. Les égouts de la France. Ils sont assaillis, figés, endormis, comme des petits volcans, prêts à exploser. Mais Dieu est grand alors dormez petits volcans, dormez. Le jour approche, bientôt vous vous réveillerez.

 

Quand j'pense à Omar Raddad et Patrick Dils, j'me dis que la justice est une balance qui trouve rarement sont équilibre. J'te l'ai dit, mais dans cette politique qu'a besoin de lifting ma liberté a les bleus de Rodney King. Ici, les petits voient bleu depuis que les matadors visent la tête, deviennent des bêtes, depuis qu'on les empêche de sortir de l'enclos, tout soin en tête chez les Trésors Publics car une casquette sur le crâne n'attire les roses coupées. Comme ici les civières sont des bancs publics, ils répondent à nos SOS avec des cars de CRS faut que je t'explique. Je m'en tape moi d'ta plaque, j'ai des tas de pannes, de soucis aux pieds, mon alcooltest familial est pété, y'a aucune parano dans mes propos. T'en as rien à foutre si j'ai un cadavre dans le coffre, tu veux un peu de popo, t'a beau me mettre les mains sur le capot, faut que j'me venge. Ici un brassard noir pour un brassard orange, j'suis pas là pour faire de la démago, beaucoup de flics font bien leur taf mais d'autres mettent nos blocs sous embargo, au lieu de nous traquer pour des bouts de shit, essaye de comprendre pourquoi notre haine crie chlibidi chez les Smiths.

 

Une perquis’ de plus à l'appartement du monde, voilà les justiciers, les gars on est sur écoute chaque seconde.

Pour ceux qui débarquent dans nos blocs avec leurs plaques, qui se sentent forts, avis aux mecs des blocs, t'es bien dans le 15, appelle les renforts.

 Te rends-tu compte qu'on peut pas avoir un dialogue, que l'insigne à pris le dessus sur ta personne, que même les innocents te détestent, qu'on te souhaite la mort à chaque cage d'escaliers et qu'après la pensée y'a le geste ? Ne prends pas ces paroles comme une vulgaire mode, c'est sérieux le rapport de force n'a jamais calmé aucun nerveux. Te rends-tu compte, hier encore vous avez tabassé un attardé, un contrôle de papiers vous a changé en monstres, c'est pas une morale, mieux qu'ça soit ton enfant qui te la fasse. Ton pare-balle ne pourra rien contre ces phrases, car il te dira que l'abus d'ton pouvoir va te perdre, que t'es pas un héros et que y'a plus fou que toi dans le barrio. Tu veux quoi qu'ça aille plus loin, que des regards et des pierres, que vos cars deviennent des chars, qui y'a que la chair comme étendard, du sang pas cher ? Tu veux qu'on néglige père et mère, qu'on sabre, qu'on trace une putain de ligne et que ça devienne Medelin ? Tu veux, tu veux, tu veux une pile à la place du cœur, qu'on te prenne pour un cyborg, qui fait sa ronde dans le mur, sors pas ta plaque j'donne pas de prénom, allô la jungle ici Mowgli, je sais que ça bouillonne, réagis !

 

Eh Navarro, en bout pour toi ma place n'est que derrière les barreaux. Tu es courtois que quand tu m'lis mes droits, si j'dois être fouillé envoie Julie Lescaut. Elle au moins elle me fout le barreau, et ça m'aidera à tenir le poireau. Pourquoi les jeunes lèvent leur troisième doigt ? C'est peut être que Marianne est en train de mouiller, la garro entres les doigts. Dites aux gendarmes qu'ils ont le corps mais surtout le cerveau à Van Damme, à vous de voir c'est vous qu'avez la loi au bout de votre flingue, vu que vos bavures deviennent des procédures. Nous on le vit, voit, on représente tous ces gens bilingues, ces immigrés qui font face à vos procès. Dur de pas rester en file indienne sur ces murs, cow-boy vu qu'tu tires plus vite que ton ombre, cow-boy. Des supers héros y'en a que dans les BD et dans vos poulaillers y'a que des …

Psy 4 de la Rime.

Chanson extraite de l'album Enfants de la Lune, 361 Records. 2005.

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