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Twitter tisse sa toile sur l’incitation à la haine raciale
« Elle mérite une belle tournante sans GHB »; « Dis @XX, tu pèses combien ? C’est pour avoir la dose approximative de GHB à prévoir. » ; « @XX Toi, la suceuse de bougnoules, tu feras partie du voyage, on y veillera » ; « C’est où qu’on s’inscrit pour le viol collectif de @XX ? » ; « salopes, allez hop, direction chez les #Femen puis terminus #Auschwizt » « Encore une male baisée, frustrée, arrogante et méprisante Demandons à Taubira l’islamophile le droit à la lapidation !
Twitter : le réseau social héberge la haine raciale
Ce ne sont là que des exemples parmi d’autres tout aussi nauséabonds. Aussitôt, les organisations antiracistes réagissent : elles demandent au réseau social de retirer ces propos racistes. Sous couvert de liberté d’expression, Twitter rappelait qu’elle est soumise aux lois américaines et qu’elle ne peut porter atteinte à une liberté fondamentale. Néanmoins, les utilisateurs du réseau social sont en France et porte atteinte aux lois françaises.
Diversité : lutter contre les représentations médiatiques
La création d’une image et de la représentation telles qu’elles fonctionnent dans les médias s’applique également en politique. Arrêtons-nous sur l’année 1989. Pourquoi 1989 ? Ça été une année de beaucoup de bouleversements et cela à différents niveaux : la chute du mur de Berlin, la chute de l'Union soviétique, du socialisme qui a été remplacé par la mise en place d'un monde global, la globalisation.
Mécanique des images
Culture et médias en Europe
C’est ce qu’analyse Carolina Maciel de França en Belgique. Dans tous les pays d’Europe, les habitants des quartiers populaires, les enfants de l’immigration, sont extrêmement sensibles à l’image que l’on donne d’eux, comme le précise Didier Lapeyronnie. Alors recourrir à la télévision pour témoigner du racisme que subissent les immigrés est devenu essentiel, comme pour retourner une arme contre son aggresseur.