Depuis le
traité de Rome en 1957, l’Europe combattait les discriminations commises dans
les différents états à l’encontre des ressortissants européens. Cela avait
abouti avec le traité de Maastricht en 1991 à l’ouverture de tous les emplois
non-régaliens, aux étrangers membres de l’Union Européenne, et à la délivrance
du droit de vote des résidents communautaires.
Depuis
2000, l’Union Européenne oblige les Etats membres à suivre une politique antidiscriminatoire
dans l’accès à l’emploi. Les mauvais élèves sont allemands et Espagnols,
contrairement aux précurseurs suédois, belges et britanniques.
Aménagement
de la charge de la preuve