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INTERVIEW : Vincent Cespedes. « En banlieue, l’école sert à naturaliser l’échec »
Jeudi, 17 Décembre, 2009
V.M : Diriez-vous comme certains observateurs que l'école est malade?
V.C : Oui, l’école est malade parce qu’elle est complètement inadaptée à son public et parce qu’elle est incapable de relever les défis de demain.
C’est d’abord une maladie d’adaptation à un public qui s’est massifié, depuis 30-40 ans, avec une population qui n’est plus celle d’avant : « de bons petits écoliers modèles ».