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La justice sociale au cœur de la Grande Cause Nationale
Dans un contexte économique toujours plus dur, l’accès aux logements sociaux accessible aux familles dont les revenus sont faibles, est de plus en plus compliqué. En effet, nombreux sont celles et ceux qui se retrouvent à la rue.
Mais comment permettre à ces femmes, en particulier, de sortir de cette spirale de violence si aucun dispositif national d'envergure ne prend en charge leur sécurité alors que pour bon nombre d’entre-elles sont victimes de précarité, de violences familiales ou conjugales.
ACSE limité
Ce sont quatre lettres, un acronyme dont les administrations raffolent et qui souvent, au rayon politique de la ville, se désagrègent aussi vite qu’ils sont apparus. L’ACSE : Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances. Créée en 2006, antenne du Ministère de la ville.
LFM : des programmes, une équipe.
Une véritable libre antenne qui présente ces femmes qui agissent au quotidien (présidentes d'associations, infirmières, chef d'entreprises, ...), présentée par Samia DECHIR. Mais aussi, « Face à L », le vendredi à 18h, présentée par Lahbid Eddaouidi, fondateur.
Composée d’une équipe mixte, la radio compte de plus en plus de salariés. La mixité est de rigueur pour une radio qui se veut populaire et actrice de l'évolution des mœurs.
ADESCA : Une Afrique qui éduque nos quartiers
C’est à l’initiative d’un groupe de Togolais, venu en France pour faire leurs études, qu’est née l’Association ADESCA (Action pour le Développement de l’Éducation Socioculturelle d’Akposso). Engagés dans une démarche de partage de leurs connaissances, ils décident sous la présidence de Peter Kossi KPODZRO, de créer un pont de solidarité entre la ville de Saint Ouen (93) où ils ont élu domicile et les villages de Tomégbé-Akloa (Togo), dans la région des plateaux, d’où ils sont originaires.
La Cité enfin sous (bonne) presse
C’est un constat que les habitants des quartiers populaires peuvent faire au jour le jour : au-delà du périph, la représentation journalistique du quotidien est bafouée. Et ce, même si les médias s’intéressent aujourd’hui davantage qu’avant (et mieux sans doute) à la question des quartiers populaires.