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Education-Réactions : Les Désobéïsseurs
Quel est votre point de vue sur le mouvement des désobéïsseurs ?
Aurélie Fillipeti : J’ai de la sympathie pour les mouvements de désobéissance civile, pour cette forme de résistance passive. L’un des principes c’est quand même qu’il y ai une certaine autonomie dans la pédagogie, que chacun choisissent sa méthode pour justement faire passer le programme scolaire qui est le même pour tout le monde. Il y a une marge de manœuvre à préserver pour les professeurs au risque de les nier en tant qu’individu.
Education-Réaction: ECHEC SCOLAIRE
Quelles solutions proposez- vous pour faire baisser l’échec scolaire ?
Jean Marc Ayrault : Plus l’enfant est en difficulté plus il faut l’aider mais il faut que ça se passe dans le cadre d’un contrat avec la famille. Je pense que l’éducation nationale doit être tellement engagé que ça doit se passé dans un contrat avec les collectivités locales, les mairies en particulier ou avec le département pour les collèges. Il n’y a que comme ça que ça peut marcher.
Education Réactions: LYCEE : 1990 / 2009 qu’est-ce qui a changé?
Nadjib SELLALI : Les revendications que vous portiez à l’époque (qui ont amené le gouvernement à débloquer 4,5 milliards pour l’aménagement des établissements ZEP) n’ont finalement pas abouti au regard de la situation dans laquelle se trouve les établissements scolaires de banlieue.
Quel bilan en tirez-vous ?
Introduire l'arabe à l'école : les danois l'ont fait, pourquoi pas nous ?
Nadjib SELLALI : Vous avez un enfant de 10 ans, pourquoi est-il important pour vous qu'il apprenne l’arabe ?
Abdelaziz : Même si nous utilisons majoritairement le français à la maison, l’arabe reste sa langue familiale et en plus comme tout autre apprentissage linguistique il peut s’en servir quand il va dans les pays du Maghreb en général. Et l’on ne peut pas nier que c’est une richesse.
Femmes afghanes : de la potence à la présidence ?
Août 2009- Tani , dans la région de Khost , au sud-est de Kaboul , au beau milieu d’une province, à la réputation conservatrice, qui jouxte les régions tribales du Pakistan ; c’est ici qu’Okmina a dû essuyer de nombreuses menaces parce qu’elle a eu le courage et l’audace de faire un pied de nez aux pouvoirs phallocrates afghans en faisant campagne comme candidate aux élections provinciales. Célibataire et sans enfant, Okmina a arpenté rues et ruelles, vêtue de son turban et de son pantalon, pour aller à la rencontre et convaincre les hommes q
ADESCA : Une Afrique qui éduque nos quartiers
C’est à l’initiative d’un groupe de Togolais, venu en France pour faire leurs études, qu’est née l’Association ADESCA (Action pour le Développement de l’Éducation Socioculturelle d’Akposso). Engagés dans une démarche de partage de leurs connaissances, ils décident sous la présidence de Peter Kossi KPODZRO, de créer un pont de solidarité entre la ville de Saint Ouen (93) où ils ont élu domicile et les villages de Tomégbé-Akloa (Togo), dans la région des plateaux, d’où ils sont originaires.
« Marché Noir »
Et cette fois ci c’est avec une nouvelle perle autoproduite intitulé « Marché Noir », que cet ancien leader des Gnawa Diffusion continue à nous faire voyager à travers le temps et les paysages de son exile. « Marché Noir » est déjà et restera un grand moment dans sa vie artistique et personnel, signe d’une maturité particulière.
Allah n'est pas obligé
« Allah n’est pas obligé » est le premier roman d’un auteur qui n’a ni la langue ni la plume dans sa poche. Cette référence de la littérature africaine francophone retrace la vie de Birahima, un enfant de 8 ou 10 ans qui, suite à la mort de sa mère, part à la recherche de sa tante et devient enfant soldat pour survivre à la barbarie de la guerre…L’histoire se passe en Côte d’Ivoire, puis dans un Libéria et une Sierra Léone embrasée par la guerre.